Bonjour,
Ayant travaillé par le passé sur des projets ASP, JSP et naturellement sur front et du back office, ainsi que des architectures client/serveur ou plus complexe, DCOM par exemple. Je peux affirmer qu’aucune solution n’est meilleurs que les autres. Ce qui est important c’est l’usage en fonction du contexte.
Microsoft propose des solutions d’ingénierie pour permettre un large choix applicatif sur ces systèmes d’exploitation. Cela à toujours été sa stratégie et que je sache, cela est toujours d’actualité.
.Net est donc pérenne car il est fortement lié aux systèmes d’exploitation proposé par l’éditeur d’où les difficultés de portage, avec Mono par exemple. Même si la plate-forme suis de très prêt, il y a encore des avancés à faire.
On peu donc envisager de faire de l’ASP sur du Linux en terme d’infrastructure avec du serveur Apache… et oui !
Nous ne sommes pas encore dans un monde tout à fait ouvert mais, nous y arrivons avec la disponibilité de nombreux environnements multi-cibles. Et Microsoft en termes d’outils de développement suit la tendance à l’instar de l’éditeur de 4D, de celui de Delphi ou C++ Builder ou de Windev par exemple.
Le choix de l’outil n’est donc pas si simple et il est difficile de revenir en arrière. Il faut prendre en considération différents paramètres, dont la compétence en matière de langage, les qualités et défauts de celui-ci mais, aussi les cibles supportés.
C’est pour cela que des environnements comme Eclipse ou Netbeans rencontrent un bon succès, ils supportent de nombreux langages et outils de générations du coup. Ils permettent ainsi de la génération multi-cible. Toutefois, ce n’est pas si simple et rien que la prise en compte des aspects IHM est un véritable casse-tête.
Cependant, la réalisation d’une solution quelle quelle soit ne se limite par forcément au simple choix de l’outil de développement. Car il faudra constituer une chaîne de fabrication logiciel industriel.
Un bon développeur se doit donc d’être avant toute chose curieux, capable d’adaptation en termes de technologies mais, aussi de langages… donc être capable d’apprendre en continue, ce qui n’est guère simple.
Les écoles d’ingénieurs par exemple, n’étant pas forcément férules de la formation à apprendre.