Comment recruter un bon développeur pour sa startup

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A contrario du coeur (du « j’aime »), vous devriez mettre un curseur « c’est nul » au cas où… Si je devais choisir un dev, je le ferais en fonction des qualités qu’il présente, comment il parle, s’il me plaît et à le côtoyer, et non sur catalogue ou conseils idéologiques. La vraie chance c’est de pouvoir les voir se pavaner, là c’est authentique. En somme, du concret. Bye

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Etant du côté développeur, le soucis principal c’est la partie « Donnez envie ». La majorité des gens qui me contactent restent très vagues, de peur que je leur vole le concept (bah oui, j’ai que ça à faire évidemment), ou ont rarement assez de recul pour dire autre chose que « C’est LE nouveau machin qui va tout révolutionner » alors qu’on se retrouve avec un enième réseau social sans intérêt.

Bref, manque d’humilité, manque de confiance envers le développeur, manque de considération du travail à accomplir d’un point de vue technique (« c’est facile, y’a juste 2-3 trucs à faire »), manque de vision à long terme, manque de monétisation, l’écrasante majorité du temps je ne donne même pas suite.

J’attends toujours qu’un porteur de projet me fasse vibrer en me présentant son projet !

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J’aime bien cette phrase => Et oui, les développeurs n’ont pas besoin d’entrepreneur pour avoir des idées.

J’en ai eu un, un jour, qui est venu les mains dans les poches (sans maquette ni rien) et qui m’a juste demandé de télécharger d’autres applis pour voir ce qu’ils voulaient… => bah non…

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On peut rajouter ceux qui veulent inventer ce qui existe déjà :wink:

De toute façon, n’importe qui peut plagier. Ce qui fait la différence, c’est l’équipe, la motivation et le coup de chance au bon moment. Si je te donne tous les bons lead dév, c’est pas pour autant que ton projet aura du succès. Le dév n’est qu’une petite partie d’un projet …

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Une startup, c’est des tas de tâches essentielles à mettre en exécution et des compétences tellement cruciales et diverses que le terme « un bon développeur » n’a pas de sens.
Pour un site web correct dans un environnement concurrentiel, il faut un UX designer, un UI designer, un Dev spécialisé front, un dev back-end, un spécialiste de chaque d’API à intégrer, Analytics, SEO, sécurité, et j’en passe.

IMPOSSIBLE D’ETRE COMPETENT ET EFFICIENT DANS TOUS CES DOMAINES. Pour peu qu’il faille développer la version iOS ou Android en plus…

D’après mon expérience, les bons développeurs sont légion mais les projets biens dirigés sont plus rares. Tout le sujet pour un startupper est de savoir évaluer ses limitations (planning surchargé) et sa capacité à faire éxécuter en limitant les risques.

Pour cela, mon meilleur conseil est de prendre un super chef de projet digital à temps partagé et de le laisser organiser les tâches précises qui seront déléguées à des freelances. Tout le monde sera content et les développeurs ne seront pas confrontés à des instructions floues, ce qu’ils détestent le plus.

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C’est possible d’être suffisamment compétent pour faire une plateforme web et les applis mobiles qui vont avec. Le soucis c’est le temps. L’avantage, c’est une bonne symbiose et cohérence entre la plateforme web et l’appli mobile.

Il ne faut surtout pas confondre capable et compétent. Tous les développeurs que je connais sont capables de prendre en main n’importe quelle techno. En ont-ils les compétences: NON.
Je suis moi-même capable de me plonger dans des docs, d’API, de tester, et de monter en compétence sur une techno au fil des projets et erreurs faites simplement parcequ’il faut expérimenter pour comprendre. Suis-je pour autant capable de développer une plateforme avec tout ce qui va avec: NON à moins de me mettre en mode bulle et de prendre le temps qu’il faudra, c’est à dire…beaucoup de mois (expérience vécue). Berfhaen, je te donne raison si tu n’as pas de contraintes de temps, mais dans la pratique, une startup doit aller vite, très vite, et s’adapter, c’est à dire pivoter quand on elle voit qu’elle va dans le mur. Une équipe où chaque intervenant a des compétences pointues ira beaucoup plus vite.

C’est ce que je dis. C’est possible mais ça prend beaucoup de temps. Je le fais également. Je suis compétent web front/back et appli mobile. L’avantage que j’ai, c’est que c’est le même langage pour tout.

Bonjour,

Étant dans le domaine du développement depuis le début des années 90, j’ai participé à de très nombreux projets. Je suis intervenu sur de très nombreuses techno et j’ai d’ailleurs pu développer des compétences assez large au fil du temps.

J’ai donc, je crois que je peux l’affirmer, mais il faut savoir toute raison garder et rester modeste, une bonne vision globale de ce que tout cela implique.

Bien sûr que recruter son premier développeur, d’autant plus quand on n’a pas la compétence que lui est sensé avoir, n’est pas une chose aisé. Il y a bien sûr différentes solutions comme les cabinets de recrutement, celle-ci à toutefois un coût qui s’avérer exorbitant. Surtout pour une jeune et toute petite structure.

La techno n’est pas sensé être un problème, un dev. doit être capable d’adaptation et doit pouvoir travailler rapidement sur de nouveaux langages. Sur le principe, ayant fait du C++, C#, Java, JavaScript, Pascal Objet, PHP, VB… et pratiqué leurs frameworks associés, je suis en capacité de démontrer cela.
La ou sa coince c’est la connaissance des frameworks qui dans certains environnement, je pense à PHP par exemple, sont multiples voir très nombreux. Pour ne pas dire trop…

Alors en effet, il faut donner l’envie, vendre le projet, convaincre et surtout arrivé à trouver la perle rare ! Toutefois, chemin faisant celle-ci sera difficile à cadrer, maîtriser, faire entrer dans un certain cadre…
Par définitions c’est un peu historique les développeurs ont parfois une fâcheuse tendance à être du genre mégalo… et là je parle en tout franchise mais avec modération ! Ils aiment bien réinventer et surtout faire en sorte qu’il soit difficile d’intervenir derrière eux.

Des propositions comme d’autres j’en ai eu, souvent peu crédibles et surtout faites sur la défensive, car il faut savoir donner pour recevoir. Et puis il existe des outils pour se protéger et protéger ses idées.

A la finale il s’agira surtout d’une question de feeling entre les associés… l’ayant expérimenté à plusieurs reprises. Il faut bien comprendre qu’il y a de très nombreux paramètres qui rentre en ligne de compte, dont familiaux.

Dans la pratique ce n’est pas si simple de s’associer et de monter sa boîte, surtout à plusieurs.

Donc dans une certaine mesure, je serais plus enclin au recrutement qu’a l’association. Mais dans ce cas il faut se faire accompagner quand on n’a pas la compétence, ça à un coût mais, ça évite de se planter.

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Bonjour et merci pour ton retour @FS2X,
C’est vrai que la partie humaine est discrète dans cet article, mais elle n’est pas inexistante :wink: La preuve vers la fin de l’article :

« Une autre erreur est d’embaucher exclusivement sur les « hard skills », c’est-à-dire pour leurs compétences techniques, au détriment des « soft skills » qui sont l’intelligence émotionnelle et le savoir-être. »

N’hésite pas si tu penses qu’il y a autres choses à ajouter à ce niveau