Michel,
Les business du web fonctionnent selon les mêmes modèles que la grande distribution ou une salle de ventes aux enchères.
Avec en prime
- la puissance de démultiplication du web
- le partage des infos auprès de tous (chacun peut ainsi tenter de faire mieux que les autres)
- la virtualité des écrans qui accentuent les déformations du réel
- la puissance de persuasion commerciale des prestataires web, marketplace et réseaux sociaux pour nous inciter à y aller, car eux, vivent bien sûr du système.
Pas de jugement de valeur 
c’est seulement de la mécanique.
Juste besoin d’ajuster les moyens réels (compétences, temps, argents, énergie, relations investies) en fonction des objectifs poursuivis et ceci avec lucidité (c’est le propre des entrepreneurs du réel)
L’approche d’un business web est quantitative (super bien penser son offre et super bien la présenter car l’hyper concurrence règne, c’est le principe) ET quantitative (cf les conseils que des pros vous donnent ici).
Juste faire ici un petit zoom sur l’aspect quantitatif.
Selon les objectifs commerciaux attendus et la pertinence de votre offre il faut compter entre 2 à 4 pour milles vues de vos messages pour un clic sur votre landing page, puis le taux de transformation lié à votre efficacité commerciale par action directe , tunnel de vente ou les 2.
C’est donc bien une démarche de type industrielle applicable à tous les business avec en plus les sous que vous donnez à Facebook, Google etc … en plus de vos articles, post etc … qui nourrissent aussi le trafic et la puissance de la machine.
En BtoC sur le web, passer de l’objectif de communication et vente au réel de l’encaissé suppose de bien tenir compte :
- de la pression concurrentielle existante sur votre offre (faites ou faites faire votre étude de concurrence numérique)
- de l’hyper sollicitation des gens en règle générale,
- du caractère virtuel des likes etc …,
- du niveau plus ou moins « débilité » de votre cible.
C’est tout l’enjeu de la formation, des associations business, des investissements sur les business web donc de la culture entrepreneuriale et la préparation préalable des créateurs au regard des objectifs personnels de chacun.
J’espère avoir été assez précis et vous recommande de travailler le sujet avec votre coach ou mentor entrepreneurial.
Oui entreprendre fait connaitre les montagnes russes et le BtoC est parfois aussi joyeux que déspérant car il nous renvoie aux réalités de notre société ou il y a du merveilleux et … du pathétique…
That’s life 
Bonne suite
Xavier