Je m’appelle Mathilde, et je suis toute nouvelle sur le forum.
Je suis actuellement en création d’entreprise autour des box alimentaires mensuelles (axé finger food). Pour m’aider à commencer, j’ai lancé une campagne de financement participatif sur Ulule.
Je me tourne vers vous aujourd’hui car cette campagne peine beaucoup à décoller malgré tous mes efforts avec mon réseau et les réseaux sociaux, et j’aimerais avoir un avis neuf sur le projet tel qu’il y est présenté.
En effet, je pense trop avoir « la tête dans le guidon » pour me rendre compte de ce qui pêche.
Je vous remercie beaucoup par avance de toutes les critiques constructives que vous voudrez bien me donner !
Vous avez un Business Plan ? L’idée est peut être bonne mais avec 4K€ vous n’allez pas allez très loin. Car le site Internet va représenter un budget conséquent, minimum 1500 à 2000€. Au vu de votre projet, je pense que ce sera plutôt light comme budget pour un tel projet.
Merci pour votre réponse.
J’ai en effet un business plan prêt et j’ai prévu d’aller en banque demander un prêt.
Cependant, il y a peu, je me suis tournée vers un organisme de prêts d’honneur. Cet organisme m’a refusé le prêt en me disant que je n’avais pas de preuves concrètes de la fiabilité de mon projet, et qu’il me fallait donc passer par le crowdfunding (malgré lui avoir montré le business plan, l’étude de marché etc.).
Nous avons mis la barre à 4000€ mais il est certain que nous avons besoin de plus
Bonjour,
Aucun projet aucun projet ne peut démontrer qu’il est viable, d’autant plus s’il n’a démarré. Aucune entreprise quelle qu’elle soit ne peut démontrer sa pérennité à long terme.
Surprenant que cet organisme vous est répondu cela ou alors, c’est qu’il non pas compris votre projet. Vous avez sollicité des structures comme le BGE, pour vous faire accompagner ? Ils sont assez actifs.
Sinon en effet, ce sera juste toutefois la banque ne vous prêtera pas ni pour le BFR ni pour tout ce qui immatériel. Éventuellement pour la partie marketing mais, cela me semble là aussi avoir vite ses limites…
Votre idée est peut être très bonne, cependant il y a déjà pas mal de monde sur ce créneau.
Votre message me rassure…!
Je me suis faite accompagnée par BGE en effet, qui a été remarquable en terme d’accompagnement et qui m’a dirigée vers France Active pour le prêt d’honneur. C’est là que l’on m’a dit qu’il me fallait des preuves, car la commission qui devait m’octroyer (ou non) le prêt « préfère aider un projet de boucherie ou de coiffeur parce que ça marche et c’est rentable rapidement. ».
Alors j’ai voulu lancer rapidement la campagne Ulule pour récolter ces fameuses « preuves » : nombre de donateurs, montant des dons, intérêt envers les contreparties etc.
Mais aussi pour m’offrir une certaine visibilité afin de lancer mes réseaux sociaux.
Cependant, j’imagine que la période estivale n’aide pas non plus.
le problème de tous ces organismes bge etc c’est des personnes qui n’ont généralement jamais créé de boîtes.Un voisin est passé devant ce genre de commission ils lui avaient dit que ça marcherait pas son business de boutiques de bonbons.
Au final il dégageait 2000€/mois de salaire et il a revendu sa boutique plus de 50 000€.
C’est le soucis en France avec toutes ces structures pour aider ceux qui se lancent.Ces types n’ont pas le mindset.
Après tu devrais te diriger vers un incubateur je pense ça sera un peu mieux que ces guignols.
Alex, c’est ce que j’ai ressenti aussi quand on m’a cassée en disant que je n’avais pas de preuves…!
Votre voisin est un bel exemple en tout cas, et me rassure aussi.
il y a beaucoup de nons dits qu’il faut comprendre la France n’est pas un bon pays pour monter sa boîte ou faut rapidement se casser après.Cela dépend des objectifs de développement…
J’ai un projet de startup j’ai été rapidement taper à la porte de ces organismes et j’ai très vite compris que c’était des rigolos planqués .Il faut vraiment le comprendre voir les vidéos d’Oussama Amar qui a un incubateur mais ne veut pas faire de partenariat avec les incubateurs d’état.
Sinon vous auriez pu vous appuyé sur les box de my little paris etc?
@mathilde_hfb je pense que tu as choisi une période très difficile pour un projet de crowdfunding. Après sur ton projet en lui même ta différentiation de ta box, ne me saute pas aux yeux, comparée à celle de Divine Box que cite @Alex79 Divine Box on voit tout de suite qu’il a choisi une stratégie de niche avec un segment très particulier de clientèle.
Quand à France Active ils sont dans leur rôle en étant conservateurs. Ils n’ont pas d’argent pour financer tous les projets et clairement ils veulent soutenir des projets qui vont créer des emplois. Donc entre un projet classique avec une probabilité forte de créer quelques emplois de façon pérenne et un projet innovant qui risque d’être mort au bout de 5 ans sans avoir gagné d’argent ils choisissent le moins risqué.
Je trouve aussi que c’est un très bon conseil qu’ils te donnent d’essayer de prouver que tu vas avoir des ventes. Tu te rends bien compte que ce n’est pas facile. Et cela va certainement te faire revoir ton projet dans le bon sens si tu es vraiment motivé pour entreprendre et te faire abandonner si tu n’es pas fait pour entreprendre.
les mecs sont encore à l’ancienne je ne suis pas du tous sur qu’ils connaissent le concept de « box » à envoyer.Ils parlent de boucher et coiffeur les boucheries ont pourtant la vie dur avec les centres commerciaux et j’ai un pote sa femme était bien contente de revendre son salon.
Effectivement CSV il faut qu’elle se niche d’avantage mais elle a déjà des ventes et c’est pas mal.Le système des box c’est un abonnement…
Après elle devrait rentrer dans un incubateur ou elle sera d’avantage aidé et ou les gens comprendront ce qu’elle fait et qui l’aideront à avoir des aides et du conseil sur le marketing etc mais c’est pas la peine d’aller revoir ces personnes en l’état actuel…
du côté de chez mois ils ont créé une box avec des échantillons bio issu du monde.ils sont suivi par l’incubateur local.
@CSV c’est vrai que ce n’est pas la meilleure période, j’en conviens tout à fait !
Pour ce qui est de France Active, je rejoins plus @Alex79 car le discours qui m’a été tenu ne parlait pas de création d’emploi futur.
J’ai plus été jugée sur le fait que j’avais un projet qu’on ne pouvait comparer avec rien d’autre, d’où la comparaison qui m’a été faite avec les salons de coiffure.
De plus, il m’a été clairement dit que la commission qui octroie ces prêts est composée de personnes « vieille école », qui craignent les projets de ce type, menés, en plus, par une jeune femme de 25 ans.
En tout cas, comme vous le dites, cette campagne aura été un test avant de lancer définitivement l’entreprise, et ceci n’est pas une si mauvaise chose que ça, car j’ai du modifier certaines choses en cours de route.
Pour ce qui est de la Divine box qu’a cité @Alex79 , c’est un concept avec un thème bien précis. Il y en a bien d’autres, comme la Breizh box par exemple. Eux sont vraiment dans une niche bien précise, mais ce n’est pas notre cas, en tout cas au niveau du thème de la box, car il y en aura un différent chaque mois.
En revanche, on se différencie clairement des autres box au niveau des produits. Notre but est de faire profiter nos clients de produits à déguster tout de suite (sans aucune transformation), qu’on ne trouve pas (ou très peu) dans le commerce, de grande qualité et surtout à partager autour d’un bon moment. On met plus en avant le côté « être heureux ensemble et en mangeant quelque chose de bon ».
En tout cas @Alex79 je prends votre idée d’incubateur, même si j’ai bien sûr le projet de me faire aider au niveau com et marketing par des professionnels pour éviter de me planter !
Merci encore à tous pour tous vos commentaires constructifs qui m’aident énormément
Les dès étaient pipés ils avaient déjà décidé à qui ils allaient donné les aides.Dans les petites villes de provinces faut encore plus rentrer dans le moule et avoir un copain d’un copain dans la commission.
Ces mecs ne savaient pas de quoi tu parlais alors que les boxs depuis mylittle paris c’est quand même connu dans le monde du business.Elle a commencé dans une chambre de bonne et a revendu sa boîte 60 millions d’euros.
Ils ont vu ton nom qui fait espagnol portuguais t’aurais été un mec il t’aurais sorti « faites maçon ou carreleur »!
C’est le malheur de la France cette mentalité à la con de « fonctionnaire ».Les mecs se planquent dans des jobs comme cela et c’est eux qui doivent juger si on accorde ou pas les subventions.ils ont généralement jamais fait de boîte.Ou dans les petites villes c’est des électriciens etc qui sont potes avec les notables locaux et ont du job comme ça.Quand on y pense c’est complètement dingue !
Là il faut que tu prennes plutôt un état d’esprit startup.Regardes le solutions types shopify etc pour ton site formes toi sur udemy tuto etc pour faire tes images de pubs et te former à facebook et réseaux sociaux
Et mets l’argent dans ces campagnes de pubs
Affines ton projet et postules dans des incubateurs ou là ils seront de quoi tu parles.Et même si c’est des mecs avec le même mind set c’est déjà moins galère de te faire comprendre.ils essaient d’avoir un peu plus l’état d’esprit d’entrepreneur.
En Fr c’est beaucoup du baratin sur le papier pour rassurer le contribuable mais concrétement.Quans tu demandes les aides faut être ingénieurs sortir d’une école de commerce bref rentrer dans le moule et savoir remplir leurs dossiers à la con .
Et tous ces mecs pompent et vivent comme ça des aides de l’état l’entrepreneur qui débute et face à ces machins là
juste pour illustrer mes paroles un peu plus haut je suis tombé sur cet article.Cet incubateur retient 20% des dossiers donc des gens qui méritaient des aides un accompagnement se sont fait dégager avec des arguments fallacieux.
Pour permettre aux « amis » d’être suivi là c’était tellement flagrant que c’est pas passé et elle s’est faite balancer.Certainement par un collègue qui voulait le trône!
Donc c’est pour ça regardez le marché et gardez du recul par rapport aux dires de ces parasites…
Selon le Canard enchaîné daté du 30 mai, la vice-présidente de la Région Grand Est, Lilla Merabet, aurait omis de déclarer une participation dans une holding financière à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
Toujours selon l’hebdomadaire, l’incubateur de start-up SEMIA, qu’elle préside, aurait participé au développement de l’entreprise Fibermetrix dirigée par son compagnon, société qui aurait bénéficié deux ans plus tard d’un investissement de 600 000 euros (et non 60.000 comme écrit initialement par erreur) financés par le conseil régional via Capital Grand Est, une structure de gestion régionale en capital-investissement où siège Lilla Merabet.