Quand on pense à tous les avantages du statut (et notamment financier), on se demande pourquoi les développeurs n’osent pas se lancer, au moins pour essayer. Où sont les blocages ?
Eh bien c’est quand même un sacré confort la vie de salariée. Quasiment aucune contrainte de paperasse, le chômage etc. Personnellement après plusieurs années en freelance, j’en ai marre, et je souhaite arrêter prochainement pour retourner en CDI.
Sans compter que la recherche de clients n’est pas forcément une activité dont les développeurs raffolent…
Etre entrepreneur c’est avoir avoir une vision lucides des moyens requis pour un projet donné.
Etre freelance n’est pas en soi un projet c’est juste un statut qui doit servir un projet perso-pro.
Entre la peur bonne conseillère (car elle oblige à réfléchir) et la peur (bloquante) le sujet est bien plus complexe qu’un avantage de fiscalité (réelle).
Réfléchir à « devenir freelance » aurait bien aidé les dizaines de milliers de freelance qui reviennent au salariat (parfois le plus contraignant) après avoir écouté les sirènes du merchandising de la création d’entreprise.
Ce qui manque le plus souvent aux développeurs c’est une bonne culture personnelle et économique pour savoir bien choisir leur voie
eh oui, merci de le rappeler.
VENDRE est l’un des 4 métiers de l’entrepreneurs quelle que soit l’activité, du moins pour ceux qui font autre chose que tester un projet avec les subventions de France travail.
Or, vendre est une très belle alchimie, passionnante qui peut justement aider des développeurs à réflechir à ses solutions collectives (variées) pour éviter le piège de l’entreprécariat.
juste sortir d’un modèle mental qui leur fait croire que l’outil fait tout !