Tout à fait, un client qui connait la vraie valeur de votre travail ne vous fera pas perdre de temps, et travaillera généralement plus efficacement qu’un client qui souhaite toujours payer le moins cher possible (tout en en voulant toujours plus…)
@plarcher
<<Il n’y a a absolument aucune corrélation entre la « Rémunération mensuelle voulue » et la Valeur produite>>
Je n’ai jamais dit ça. Mais la formule peut fonctionner. De la même façon qu’un client détermine son budget, on peut déterminer sa rémunération voulue.
Et en aucun cas en faire la fondation de son pricing, sinon cela revient bel et bien à corréler la valeur produite et la rémunération voulue.
Toute ressemblance…
Bonsoir,
Je suis vos post et plus je vous lis , plus je constate que nous sommes dans la même problématique. Effectivement, les TPE doivent être abordées à « la carte ». Cependant, si je puis être … pragmatique, ne soyons pas dupes. Je crois qu’il est nécessaire d’effectuer une approche cas par cas, surtout dans les petits agglomérations.
En ce qui me concerne, pardon, j’ai honte, mais je ferais plus facilement un prix à mon épicier qu’à mon boucher. Parce que mon boucher exprime ouvertement des signes extérieurs de richesse, alors que mon épicier, pour autant très réticent, galère face à quatre grandes surfaces dans un rayon de 8 kms. Quoiqu’il en soit, je pense qu’au delà du CA, il faut éviter d’avoir des cas de conscience. La valeur intellectuelle a un prix et il ne faut surtout pas le sous-estimer.