Un lien que j’ai trouvé intéressant :
Il résume l’aspect finance dans le cas d’un boostrapping à Paris.
http://www.slideshare.net/FranceDigitale/startup-funding-bootstrapping-101
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Surtout, si vous pouvez négocier une rupture conventionnelle avec vôtre employeur, faîtes-le.
C’est vraiment le meilleur moyen en France pour s’en sortir la première année sans trop puiser dans ses propres économies.
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Avoir un business model avec des clients et du MRR dès le début est la plus importante des conditions. Et si c’est pas le cas, il vaut mieux essayer de trouver un business avec lequel c’est le cas.
Attention aux startups qui, sans engranger le moindre cash imaginent gagner de l’argent sur le volume de leur nombre d’utilisateurs. C’est très risqué, et souvent, ça rate, alors que quand on crée un business avec un vrai business model, ça a plus de chances de fonctionner
Je confirme le conseil de @Toilal
J’ai quitté mon précédent job salarié pour me consacrer au montage d’une startup.
Ca devenait impossible de gérer les 2 en parallèle.
J’ai fait une rupture conventionnelle, condition sinequanone, sinon pas de chômage indemnisé et ca c’était envisageable.
Il me semble en outre que la rupture est faite pour faciliter le pont entre quitter son job et concrétiser un projet d’entrepreneuriat.
C’est ce genre de conditions idéales (rupture conventionnelle) qui me fait dire qu’on est quand même dans un paradis entrepreunarial 
Attention néanmoins, si tu gagnes de l’argent dans ta société, ça veut dire que tu travailles aux yeux de la loi, donc ils peuvent te retirer ton chômage.
@tibastral oui c’est un sacré privilège. Mais je vois pas comment on pourrait faire autrement.
Commet font-ils dans les pays où ce dispositif n’existe pas ?
Seuls ceux qui ont les moyens peuvent entreprendre et les autres (moins chanceux) limités et les regarder faire ?
Bah moi, par exemple, j’ai jamais fait ça. Je suis parti aux US et j’ai commencer avec mon AE. J’ai fait du freelance, et on the side, j’ai commencé à bosser sur mes events parisrb, sur mes produits freelancebooking, Job board maker et ma formation happy freelancing. Ensuite, j’ai fait la transition petit à petit pour passer de plus en plus de temps sur mes produits et de moins en moins de temps sur mes clients.
Ça prend du temps, mais ça se fait
c’est en effet une bien bonne manière de faire, que je qualifierai de pro-actif, débrouillard.
J’ai tout fait pour décrocher cette fichue rupture conventionnelle. J’ai même demandé à mes RH ce que je pouvais faire « amicalement » pour être viré… rien n’y a fait.
En gros, si tu veux te lancer un jour, ne prends jamais de CDI dans une boite anciennement public.
« Pole emploi ventures » : de loin le plus gros investisseur en France.
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Et ils ont la décence en plus de ne pas prendre de participation dans ta boîte 
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