Bonjour,
Je relance le sujet, étant à qqs semaines de la mise en oeuvre de cette obligation.
En ce qui nous concerne, nous avons 3 questions :
1. Sommes-nous concernés ?
Nous ne sommes que sur le 1er exercice de notre SAS, dont la seule activité est la vente de logiciels en ligne. Tout est donc dématérialisé.
Pour être plus précis, nous ne vendons pas en direct à nos clients (aussi bien pros que particuliers), mais passons par Paddle, qui agit en tant que revendeur pour nous. C’est donc Paddle qui nous fait une seule facture tous les mois (une « reverse invoice » pour être précis) pour justifier du virement qu’on reçoit.
Notre suivi est donc très simple pour le moment : 1 rentrée d’argent par mois.
Nous n’utilisons aujourd’hui pas de « logiciel de caisse », à ma connaissance en tout cas.
L’interface Paddle nous donne un log de l’ensemble des transactions, c’est peut-être donc considéré comme un « logiciel de caisse » ?
Ou peut-être que notre comptable, récupérant nos rentrées tous les mois, les rentre dans son « logiciel de caisse » ?
La 1ère question est donc : un logiciel de caisse (certifié ou non) est-il obligatoire ?
2. Un outil de suivi comptable en ligne, si utilisé en complément de notre eshop (Paddle en l’occurence) suffit-il à être « certifié » ?
Je pense à Freshbooks, Xero ou Quickbooks.
Mais même si je cherche à comprendre, je n’y connais rien, et je n’ai pas d’expérience, donc il est fort probable que je mélange tout. Je ne suis même pas tout à fait certain de ce que fait ou ne fait pas ce type de logiciel.
3. Si non pour la 2e question, alors que fait-on ?
Suis-je dans l’illégalité si je continue à vendre via Paddle, et qu’ils ne peuvent me fournir un « certificat » ?
J’imagine que cette « certification » étant un problème bien français, il y a peu de chance que les éditeurs non-francophones réagissent rapidement. On risque de se retrouver avec une sélection restreinte de logiciel, qui ne répondent pas à tous les cas.
Ou bien je noircis le tableau ?