L’offshore à été expérimenté par de nombreuses structures, parmi elles des grands comptes et ESN entre autres, par le passé depuis le début des années 2000.
Beaucoup de projet « offshorisés » on eu bien des soucis :
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la qualité (code, intégration, tests, …) ;
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le respect des spécifications fonctionnels et techniques ;
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culturelles/relationnelles entre les équipes ;
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Etc.
Les exemples plus ou moins confidentiels sont nombreux.
L’offshore est également pratiqué par des éditeurs. Des entreprises de services numériques (ESN) françaises connues et moins connues ont des centres de développement « offshorisés » également.
L’offshore est possible en Europe, dans les pays du Maghreb, en Asie mais, aussi sur le continent sud-américain.
Il existe le « nearshore » qui est une forme de service délocalisé mais, à proximité très développé en France par certaines ESN.
Aujourd’hui de nombreuses structures prospectes les sociétés françaises et pas que dans le développement logiciel (la compta, le secrétariat, la traduction, …).
Personnellement, je comprend l’attrait du prix de la prestation. Il faut toutefois bien assimiler qu’une offre à un coût extrêmement bas cache forcément quelque chose, quelle soit réalisé à l’étranger ou pas d’ailleurs. Le client étant libre de ses choix bien sûr, qu’il devra assumer.
Il y aura toujours des clients qui voudront plus pour moins, l’adage dit d’ailleurs « vouloir le beurre, l’argent du beurre et la crémière… ». Le résultat les obligera finalement à faire appel à des prestataires de proximités qui feront très souvent les pompiers, l’expérience étant généralement pas ou prou concluante mais, à quel prix.
Une prestation de qualité à un coût, le prestataire devant dans les domaines du numérique en tout cas se former, faire de la veille, prospecter, … Celui-ci si il est indépendant ne peu se démultiplier, consacrer 100% de son temps à la production mais, ce schéma s’applique à une entreprise plus importante qui aura de facto des frais de structures plus lourds, beaucoup plus lourds.
Bien sûr, les entreprises qui proposent des prestations en offshore bénéficie d’un régime économique et fiscale bien plus attrayant quand on connais les niveaux de salaires dans ses pays. Et la les collaborateurs sont très bien payés. La situation ne disparaîtra quand les différences de niveau de vie entre ces pays n’existeront plus mais, ça c’est pas demain.
L’offshore outre les aspects résultats n’entre pas non plus dans une politique RSE (responsabilité sociétale des entreprises).