En prenant en compte le nombre de jours ouvrables dans une année et en soustrayant des journées dédiées aux taches administratives, la formation, au marketing et aux rendez-vous clients j’arrive à une estimation de jours. Je serais curieux de savoir si cette estimation est juste ou non.
Tu oublies des cas dans ton sondage. Imagine que j’ai développé un service SAAS où on paye un abonnement, que je gère un site e-commerce, que je dirige une société de service, que je joue en bourse…
A l’origine je pensais en journées pleines pour de la prestation de service. Bonne remarque quoi qu’il en soit, même si à mon avis c’est compliqué de mesurer cela pour les cas que tu évoques.
N’hésite pas à modifier le sondage si tu penses qu’il manque des propositions
C’était plus pour chipoter. C’est peut-être le mot « entrepreneurs » qui est trop large. J’ai l’impression que tu vises surtout les « freelances » ou les « indépendants »
A lire la question tu ne cherche pas à savoir combien de jours on facture réellement, mais le potentiel facturable (à moins que tu ne facture tout ton temps disponible hors administratif et autres).
Dans mon cas, j’estime à 130 mon nombre de jours commercialisable, une fois decomptés les congés, le commercial, l’administratif, le temps de formation,…
Mais concrètement, je dois réussir vendre 110 jours par an environ.
Pour ma part, je suis en début d’activité et j’ai un objectif à 160 jours par an. Je propose des prestations de service sur des missions assez longues (plusieurs mois) qui peuvent se renouveler (Développement nouvelles technologies en Java, Python et Javascript). C’est l’avantage des missions longues : on peut atteindre beaucoup plus de jours facturés.
Pendant ma démarche initiale de communication, j’ai eu plusieurs propositions d’emploi, et j’ai fait quelques calculs pour comparer mes revenus possibles en Freelance par rapport à un poste de salarié. Bilan toute charge comprise : L’équilibre se fait à 125 jours facturés. Si je facture 125 jours, je gagne autant ma vie qu’à un poste salarié à temps plein. SAUF que ça fait 90 jours de « congés » en PLUS des 5 semaines de congés + 2 semaines de RTT. Vu comme ça, le risque me parait très faible …
J’ai commencé ma communication en Avril, et 30 jours après j’étais en clientèle pour ma première mission. Depuis, j’ai eu d’autres opportunités que j’ai du refuser car je ne suis plus disponible. C’est à la fois « frustrant » mais aussi rassurant pour la suite. Mon objectif serait d’enchaîner cette première mission avec une autre chez le même client, ou bien directement chez un autre client en minimisant le temps d’inter-contrat. Finalement, être actuellement « en mission » et ne pas être disponible « pour le moment » est une excellente « preuve » pour accrocher les prospect et trouver la prochaine mission.
Pour la communication, le marketing et la paperasse, je travaille le samedi ou bien le soir quand j’en ai « envie ». J’ai pas vraiment besoin de beaucoup communiquer, mais j’ai besoin de construire un ensemble de « preuves » pour être convaincant quand je rencontre un prospect. Au niveau communication pure, dans mon cas il suffit d’être présent sur les plateformes de CV (freelance-info.fr, lesjeudis.com, monster.com, regionsjob.com pour les principaux …) pour avoir rapidement des contacts d’intermédiaires (SSII) capables de me placer.
Mais tout dépends du métier, des clients ciblés, etc …
