Sous-traiter ou pas ?

Suite du sujet Embaucher : le changement radical… Besoin de votre expérience !:

Dans le même temps un process parfaitement maîtrisé et finement découpé permet une sous-traitance très « granulaire ». Ainsi chaque tâche coûte le « juste prix » en fonction de sa complexité.

Par exemple si on ne découpe pas les prestations, un avocat ou un consultant qui coûte 300€/heure se retrouvera avec 20, 50% (plus ?) de son temps de travail alloué par défaut à des tâches de faible valeur (entre 5 et 50€/h). Si ce travailleur très qualifié arrive, via une forme de sous traitance (interne ou externe), à augmenter la part des tâches correspondant à son niveau de productivité, il pourra baisser son prix et/ou augmenter sa rémunération.

C’est valable si on arrive à maîtriser les coûts de transaction, notamment grâce aux nouveaux outils de communication et un design puis une documentation précise des process.

Les franchises (McDo…) et les start’ups (Uber, Air BnB) sont la démonstration qu’on peut concentrer un maximum de valeur tout en déléguant le gros du travail répétitif.

Il y’a d’autres intérêts à externaliser (dans l’esprit du n°1 même si la notion de cœur de métier est discutable) mais ce n’est plus vraiment considéré comme de la sous-traitance ? (on aurait du commencer par une définition peut-être :slight_smile: )